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Félix Vallotton, chronique parisienne d’un « Nabi étranger »

Par Romane Fraysse

De ses soleils rougeâtres à ses intimités plongées dans le noir, Félix Vallotton a défendu toute sa vie un art « étranger », qui ne désire se rattacher à aucune École. Au tournant du XXe siècle, ce franco-suisse est devenu l’électron libre des avant-gardes parisiennes, circulant un temps dans le cercle des Nabis. Récemment sorties de l’ombre, ses 1704 peintures, ses 237 gravures et ses nombreuses illustrations font désormais sa renommée parmi les modernes.

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