Un nouveau festival de photo va s’installer dans les magnifiques jardins Albert Kahn à Paris

Jardin Albert Kahn © Marat Lala / Adobe Stock

Un tout nouveau festival dédié à la photographie contemporaine débarque dès le samedi 1er juin 2024 : la première édition de “Monde en communs” présentera le travail de 11 photographes contemporains exposés dans les splendides jardins du musée départemental Albert-Kahn.

Un nouveau festival de photos

Un nouveau festival de photographies va être bientôt lancé dans l’ouest de Paris ! Baptisé “Mondes en commun”, il met en parallèle les collections historiques du musée départemental Albert-Kahn et la photographique contemporaine. L’objectif est ainsi d’éclairer l’œuvre monumentale initiée par le philanthrope à travers les paysages et les enjeux de notre époque.

Mer-de-Glace, Crevasse, photographieissue de la série Glaciers, 2012-2018 © Aurore Bagarry, courtesy galerie Sit Down — Mer-de-Glace, Crevasse, photographie issue de la série Glaciers, 2012-2018 – © Aurore Bagarry, courtesy galerie Sit Down

Au sein du jardin d’Albert Kahn

“Poursuivre l’inventaire” : la thématique du festival Mondes en commun fait écho aux Archives de la Planète, le projet d’Albert Kahn de constituer “un vaste inventaire photographique de la surface du globe occupée et aménagée par l’homme, telle qu’elle se présente au début du XXe siècle”. Des inventaires qui traitent aussi de la faune et de la flore au sein des splendides jardins du musée.

Bertrand Stofleth, serie : Atlantides. Résidences du front de mer, Lacanau, 2022 - © Bertrand Stofleth — Bertrand Stofleth, serie : Atlantides. Résidences du front de mer, Lacanau, 2022 – © Bertrand Stofleth

Onze photographes contemporains

Cette année, le festival réunit 11 photographes contemporains au sein des jardins : Thierry Ardouin, Aurore Bagarry, Maryam Firuzi, Nicolas Floc’h, Antonio Jimenez Saiz, Sanna Kannisto, Daniel Meadows, Yan Morvan, Bertrand Stofleth, Éric Tabuchi & Nelly Monnier, et Anaïs Tondeur. Chacun présentera une approche personnelle, autant “macro” que “micro” du vivant et de l’inanimé.