fbpx

5 expos gratuites à voir en décembre

centre-pompidou-paris-zigzag
Par Lea A

Expo photo, citoyenne, installations, peintures ou sculptures, tour de piste des expositions gratuites à ne surtout pas manquer en décembre.

Dan Flavin – Galerie David Zwirner

Figure majeure du minimaliste américain, Dan Flavin modèle l’espace par la lumière à travers des “situations”, oeuvres colorées confectionnées à partir de néons industriels. Une plongée poétique dans ses oeuvres phares des années 60 et 80.

Dan Flavin – Galerie David Zwirner
Jusqu’au 1 février 2020
108, Rue Vielle du Temple – Paris 3

Cause toujours ! – MAIF Social Club

Une exposition construite comme un “laboratoire d’idée” pour déconstruire nos certitudes et “repenser collectivement le monde”.

Dans un parcours en sept tableaux, sept hashtags : #Idéaux #Fiabilité #Pérennité #Implication #Viralité #Mobilisation #Responsabilité; journalistes, artistes, philosophes, historiens se sont associés pour dialoguer et interroger l’impact du web sur nos engagements citoyens : fake news, Post-vérité, démultiplication des utopies, flot discontinu d’information, outil de ralliement etc.

Cause toujours ! – MAIF Social Club
Jusqu’au 11 janvier 2020
37, Rue de Turenne – Paris 3

Rien à voir – Musée d’Art et d’Histoire de l’Hôpital Saint-Anne

Sous-titré “Quand la création échappe au symptôme”, le musée propose une exploration de  “l’art psychopathologique”. Un concept élaboré par des médecins dans les années 60-70 pour psychanalyser leurs patients à travers la matière artistique. Processus analytique désormais abrogé. De la figuration à l’abstraction, le parcours explore les travaux de 10 artistes et nous invite à explorer leur art d’un regard sensible et artistique.

Musée-d’Art-et-d’Histoire-de-l’Hôpital-Sainte-Anne-©Dominique-Baliko-Paris-Zigzag
Sapelier, Sans titre, 1966, ©Dominique-Baliko

Rien à voir – Musée d’Art et d’Histoire de l’Hôpital Saint-Anne
Jusqu’au 22 décembre 2019
1, Rue Cabanis – Paris 14

Tumulte à Higienópolis – Lafayette Anticipations

L’artiste contemporaine, Katinka Bock, sculpte l’espace de Lafayette Anticipations avec ses installations modelées in situ sur l’architecture du lieu. Des oeuvres géantes qui envahissent l’espace dans un équilibre à la fois flottant et fragile.

View this post on Instagram

Julien Creuzet, « Ricochets, les galets que nous sommes finiront par couler (épilogue) », 2017 ✈️ Exposition “ You ”, jusqu’au 16 février 2020 au Musée D’Art Moderne de Paris. Œuvres de la Collection Lafayette Anticipations. _ L’œuvre « Ricochets » de Julien Creuzet envisage le découpage colonial de l’Afrique, lors de la conférence de Berlin en 1885, comme une clé de compréhension du terrorisme contemporain. Elle revient sur ce moment de déchirure et ses effets rebond dans l’histoire et dans l’espace, matérialisés, par exemple, par ce drapeau morcelé au sol de l’Union européenne. _ Julien Creuzet’s oeuvre considers the colonial partitioning of Africa at the 1885 Berlin conference as key to understanding modern-day terrorism. It revisits that wrenching moment and its rebound effects in the context of history and space, materialized, for example, by the European flag torn up in pieces. _ #LafayetteAnticipations #LAfondation #LAcollection #FondsdedotationFamilleMoulin #mam #expoyou #map @museedartmodernedeparis @julien.creuzet 📸Marc Domage

A post shared by Lafayette Anticipations (@lafayetteanticipations) on

Katinka Bock – Lafayette Anticipations
Jusqu’au 5 janvier 2020
9, Rue du Plâtre – Paris 4

Calais, témoigner de la jungle – Centre Pompidou

L’exposition raconte en image le quotidien de la Jungle de Calais avec en toile de fond, l’exil et la crise humanitaire. Un parcours qui interroge les fonctions de l’image dans un monde où il est devenu difficile de capter l’attention du public.

Bruno-Serralongue-Station-de-recharge-des-téléphones-bidonville-d'État-pour-migrants-Calais-©Air-de-Paris-Paris-Zigzag
Bruno Serralongue, Station de recharge des téléphones bidonville d’État pour migrants Calais, ©Air de Paris

Calais, témoigner de la jungle – Centre Pompidou
Jusqu’au 24 février
Place George-Pompidou – Paris 4

À lire également :
Corps-à-corps, l’exposition qui croise un artiste chinois avec Courbet