fbpx

Le Tabou, un club en ébullition dans le Paris existentialiste

Robert Doisneau, Devant le Tabou, 1947

L’année 1947 marque l’âge d’or d’un club de jazz de Saint-Germain-des-Prés : le fameux Tabou. Avec sa cave voûtée ouverte jusqu’à pas d’heure, ce lieu effervescent ne tarde pas à devenir le repère de toute une jeunesse intellectuelle que l’histoire a immortalisé sous les noms d’existentialistes et de zazous. Sans surprise, Boris Vian, Simone de Beauvoir ou Juliette Gréco étaient des leurs.

Cet article est réservé aux membres Zigzag. Pour accéder à tous les articles en illimité et soutenir Paris Zigzag cliquez sur s’abonner.

S'abonner
Inscrivez-vous à notre newsletter

Les prochaines visites guidées



Voir toutes nos activités