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Estomacs fragiles et âmes sensibles, s’abstenir ! Après, si vous êtes téméraires et ouverts aux expériences culinaires saugrenues, vous pourrez bien vous délecter de cette sélection de plats les plus bizarres servis dans les restos parisiens.
La “tentation de Saint-Antoine”
Tout est bon dans le cochon, dit l’adage qui s’applique très bien au restaurant Le Pied de Cochon, qui vend d’ailleurs 85 000 plats éponymes par an. Mais céderez-vous à la “tentation de Saint-Antoine”, un plat composé de groin, queue, oreille et pied de porc ?
Des crêtes de coq
Une autre adresse a aujourd’hui remplacé le restaurant Jadis, dans le 15e arrondissement. Peut-être est-ce du au fait qu’on y servait une fricassée de crêtes de coq ? On vous laisse juges…
Du gras en tranches
Bon, sur le papier ça paraît vraiment un peu limite, mais il faut savoir que ledit gras est affiné dans des bacs en marbre chez Da Rosa. Il serait tellement fin qu’il fonderait directement sur une tranche de pain grillé. Pour autant, on n’a pas vraiment osé vérifier.
Des oeufs de 100 ans
Des oeufs de cane fermentés dans un mélange de boue à la chaux, à la cendre et au riz paddy, ça tente quelqu’un ? Les œufs noirs et verdâtres dits “de cent ans” à l’odeur marquée sont pourtant des mets traditionnels chinois servis dans une poignée de restaurants de la capitale.
De la méduse
Transparente, visqueuse et gorgée d’eau, qui aurait l’idée de manger de la méduse ? On vous invite à poser la question au chef du restaurant Iris, qui cuisine le mollusque en salade avec du concombre rapé, peut-être saura t-il vous réconcilier avec l’animal.
Le haggis
De la panse de brebis fourrée d’abats de mouton, le tout ressemblant à un gros ballon… Oui, on parle bien d’un des plats les plus emblématiques d’Écosse. Et après on se moque de nos escargots au beurre persillé…
La cervelle de cheval
Manger du cheval en soi est déjà un sujet assez clivant, on voit d’ailleurs de moins en moins de boucheries chevalines dans la capitale. Mais certains établissements n’hésitent pas à proposer du cheval sous toutes ses formes, à l’image du Taxi Jaune et de ses cervelles de cheval en croquettes.
Le nattō
À première vue, déguster des graines de soja fermentées, ça n’a pas l’air si terrible… Sauf que la première fois que l’on voit du nattō, on comprend que c’est moins simple. Jugez-en par vous-même.
Alors, vous partez sur quoi ?
Crédit photo à la une : Instagram @zomb31
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