fbpx

Trois choses qu’on aimerait changer à Paris

Article parrainé

Vue de Paris
Par Cyrielle

Il y a tout un tas de choses qu’on aimerait changer et sur lesquels nous, Parisiens, pouvons influer en faisant un petit effort : la pollution de l’air, l’entente entres les différentes catégories d’usagers des voies publiques, la propreté de nos rues… Et puis il y a tous ces petits trucs sur lesquels nous n’avons aucune prise, ou presque. En voici trois, histoire de râler un peu !

Plus d’endroits non-payants où se poser

Paris regorge de terrasses où il fait bon se poser, mais ce sont celles des cafés, restaurants et autres bars. Résultat, ça peut vite revenir très cher. Parmi les espaces gratuits, il y a bien-sûr les parcs, parfaits pour un pique-nique entre amis, mais ils sont rarement ouverts après 22 heures. Il y a aussi les quais de Seine ou le canal Saint-Martin, mais on s’y sent comme des sardines en boîte dès les premiers beaux jours. Trouver un endroit calme, accessible à toutes les bourses et à toutes les heures, peut s’avérer bien compliqué quand on vit à Paris.

Qu’est-ce qu’on fait en attendant que ça change ? La Mairie de Paris commence progressivement à offrir des espaces gratuits et constamment ouverts, comme le Parc Rives de Seine qui a ouvert en 2017. Cet été, 16 parcs sont également ouverts en continu (du 1er juillet au 3e septembre 2017). Malheureusement, on n’y trouve pas encore le calme auquel on aspire. En attendant on peut tenter le parc de la Cité Universitaire dans le 14e, accessible de manière permanente et relativement calme, ou les berges de l’Île Saint-Louis, (un peu) moins fréquentées que les quais du 5e arrondissement situés en face.

Des commerces ouverts toute la nuit

Contrairement à la plupart des grandes capitales mondiales, Paris n’est pas connue pour sa grande vitalité nocturne… Aussi, on a depuis longtemps arrêté de chercher la petite supérette ouverte à trois heures du matin qui pourrait sauver notre soirée ou tout simplement nous nourrir. Et pourtant, on espère toujours…

Qu’est-ce qu’on fait en attendant que ça change ? Pour les fringales à trois heures du mat’, on n’a pas trouvé grand chose, mais on a la solution pour les soirées qui sentent la fin à cause du manque de boissons : on se fait livrer ! La start-up Kol propose en effet de nous livrer vins, bières et spiritueux, toute la nuit en moins de 30 minutes. En plus, les bouteilles arrivent chez nous à température de dégustation et les prix sont les mêmes que ceux de notre caviste habituel. On n’est pas les plus malchanceux finalement !

 

KOL application de livraison d'alcool

PROFITEZ DE 5€ DE RÉDUCTION SUR VOTRE PREMIÈRE COMMANDE KOL*
AVEC LE CODE PROMO PARISZIGZAG1

 

 

Des cloisons plus épaisses

La voisine du dessus qui crie sur son chien au beau milieu de la nuit, le bébé d’à côté qui fait ses dents, les bus qui passent sous les fenêtres dès 6 heures du matin, les travaux partout et tout le temps… Les bruits de voisinage et de la circulation constituent les deux nuisances les plus fortement ressenties dans les environnements urbains denses et la qualité des cloisons et des fenêtres est souvent en cause.

Qu’est-ce qu’on fait en attendant que ça change ? On ne peut malheureusement pas faire grand chose contre le bruit que l’on entend, mais on peut faire un tas de petites choses pour le bien-être de nos voisins. Et puis, bon, ce ne sont que des choses qui relèvent du bon sens comme porter des chaussons plutôt que des chaussures à talons quand on habite au troisième étage, modérer le son de la télé ou de la musique qu’on écoute, etc. Par contre, s’il y a une chose à faire, c’est celle-là :  si on a un scooter, on le règle correctement. En effet, plus encore que les bus ou les voitures, le scooter mal réglé est le pire ennemi du calme en ville. En mauvais état ou muni d’un pot d’échappement non homologué, il peut réveiller jusqu’à 250 000 personnes en traversant Paris !

*Attention, l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.